FIRST; Express Yourself

J’en en avais marre de ce canapé pourquoi m’y envoie-t-il à chaque fois que je rentre ? Le il que je viens d’évoquer est mon père, il m’a toujours dit que j’avais besoin de me faire écouter et pour que je serve à la science moldue. Que je n’aille voir que des jeunes apprentis en psychologie, je ne voyais nullement l’intérêt que j’étais censé y apporter mais soit. Je n’arrivais pas à faire entendre raison à mon géniteur, que je ne ressentais aucun gêne de ne pas avoir de source maternelle dans notre demeure. J’ai toujours vécu ainsi pourquoi je changerais après tout ? Cela me convenait d’être une fille à papa et seulement à papa, je n’ai jamais connue ma mère et alors ? Je ne m’en plains jamais, une présence féminine ne me manque pas. Une chose que les jeunes psychologues ne voient pas de la même manière.

dernier bilan psychologique.
Jeune femme ravagée par une douleur infime qu’elle ne veut percevoir, mais dont tous les efforts sont mis en avant afin d’oublier cette douleur. Cachant un trou au milieu de sa poitrine, comme une moitié de son être morte, n’ayant pas d’intérêt pour le remplir, aucun, étrange. Repoussant tout aide pour essayer de comprendre le problème, ne se laisse pas approcher facilement, très bonne répartie cela étant dit. Elle a tendance a répondre du tac au tac avec une franchise qui la caractérise et lui sciais à ravir. Ayant une attitude d’adulte et non de jeune femme, trop mature pour son âge, aucune envie habituelle pour les individus âgés de seize ans. Bien au contraire, ayant une pensée faite pour une femme mariée et non une adolescente comme elle est à présent. Cette enfant cache beaucoup de choses qui l’empêcheront d’avancer correctement comme elle le souhaiterait, pourtant elle a en sa possession une intelligence pointue et rigoureuse qui la pousse à donner le meilleure d’elle-même. Néanmoins, elle n’est pas prête à ce laisser marcher sur les pieds.

SECOND; Sans Contrefaçon

Elin « Racontes moi une histoire.
Cette phrase était répétée soir après soir, nuit après nuit, par la petite fille que j’étais, une seule personne me contait ces récits si fabuleux que les jeunes enfants aiment tant. Bien entendue étant élevée par un moldu, je n’eu le droit qu’à leur histoire, les contes de fées, pourquoi ne pas tenter d’y crois ne serait-ce qu’une seule fois. Et bien j’y croyais, j’y ais toujours crus à ce que je m’en souvienne, tout du moins jusqu’à ce que je reçu une lettre d’un institut dont je n’avais jamais entendu parlé. Poudlard, école de sorcellerie, je ne croyais pas à la magie, du moins autre part que dans mes rêves ou les histoires dont je me plaisais à inventer des intrigues merveilleuses pour des princesses. J’avais d’abord cru à une farce de la part de mon père, il en était simplement capable je le savais et cela pourrait bien l’amuser de me faire croire ce genre de choses. Cependant en recevant cette lettre j’appris une chose qui m’étonna, mon père savait que j’allais recevoir cette lettre, puisque la femme qui m’avait donné naissance allait enfin faire partie de moi. Du moins mon père m’appris les raisons pour lesquelles j’avais vécu sans elle. L’amour qu’il lui portait, et surtout comment avait-elle pu abandonner un petit être aussi adorable que moi lors de ma naissance ainsi que le cœur brisé de mon tendre père. Toutes ses histoires de sorciers, sang purs, moldus, je ne comprenais rien à ce qu’il me racontait, même si j’essayais de faire des efforts, je me mélangeais. Néanmoins j’avais compris quelques bribes de ce que mon père tentait de me faire entendre. Ma mère était une jeune sorcière, il était éperdument amoureux d’elle, étant certain que cet amour était réciproque, cependant lors de ma naissance, il compris qu’elle ne l’aimait pas parce qu’il était certain qu’elle serait resté si le contraire était vrai. Et que par conséquent puisque la magie se transmettait principalement par le sang, en tant qu’héritière de cette sorcière, cela faisait de moi une jeune femme possédant également de la magie et pouvant en user à condition d’apprendre dans cette école.



X « D’après toi, même avec son opinion sur la cause perdue des moldus elle pourrait être intéressante ?
Espèce de sale *3#1&$*, j’allais en massacrer un si ils continuer quoi que ce soit à parle de moi ainsi que des moldus. Ayant été élevée par l’un d’eux et ayant toujours vécu parmi les leurs, je les aimaient bien, une chose certaine, je ne supportais pas de voir les gens les dénigrer. Et le pire était que la plupart des sorciers de sang pur ne connaissaient pas de moldus, par conséquent ils ne faisaient que les juger par le fait qu’ils n’aient pas de pouvoir magique. Et alors il arrivent très bien à vivre, bon le seul problème pouvait être leur guerres, mais les sorciers n’étaient pas mieux avec cela et d’ailleurs, nous nous trouvions dans un conflit. Alors si j’en entais un dire quoi que ce soit sur les moldus j’allais lui en coller une belle droite quitte à me retrouver en retenue après. Une réaction excessive ? Non je hais ceux qui jugent avant de connaître et pas mal de sorciers étaient ainsi, chose qui pouvait me mettre dans une rage folle. Ensuite, il avaient parlé de moins et de ce que je pourrais être, non mais comme si j’allais m’intéresser à leur face alors que ils insultaient les moldus. Ils avaient totalement perdu la tête ses deux là, je ne le ferais pas un points c’était tout je ne voulais pas leur parler, ni même les voir, je savais qu’ils avaient dit cela pour voir ma réaction. Mais malchance pour eux j’avais choisi de ne rien dire et de m’énerver toute seule dans ma tête. Il était rare que je me montre dans un état autre que celui de mon calme olympien habituel. Même si je pouvais m’énerver et devenir furieuse intérieurement.



Tristan « Pourquoi ton père a accepté que tu rentres là-bas ? Je suis certains que c’est seulement pour t’éloigner de moi, il a trop peur que nous soyons trop proches.
Elin « Le sommes nous ?
Je savais que cette question ne ferait que le rapprocher de moi, il en avait besoin je le voyais bien, je lui manquait je le savais, il me manquait aussi d’ailleurs. Je n’aimais pas être si longtemps loin de lui, cela ne me contentait, le voir sourire, me chamailler avec lui comme dans notre enfance puis se retrouver seuls tous les deux. Dans ma chambre ou bien la sienne, rien que nous deux à se retrouver il est sans aucun doute la personne que j’aime le plus après mon père. Personne ne sait notre relation charnelle que nous avions commencé main dans la main, premières fois ensemble. Cependant il était moldu, donc je ne le voyais que lorsque je rentrais chez moi en vacances, je ne lui racontais pas ce que je faisais quand je n’avais pas sa présence comme l’inverse était vraie. Tout nous allait comme cela, même si son abscence lorsque je me trouvais à Poudlard était pesante pour moi-même, je savais qu’il ressentait la même chose. Notre lien était si pur et véritable que je ne pensais que rien n’y personne ne pourrait nous l’enlever. Du moins je le pense toujours seulement nous avons eu quelques différents vis-à-vis des autres personnes que l’on pouvait côtoyer. Il ne voulait pas que je vois des sorciers, à cause de ce que ma mère avait fait à mon père. Cependant il avait eu le droit à une réflexion que je lui envoyais un pleine poire, par rapport qu’en tant que sorcière je pourrais très bien lui faire la même chose si il le voyait de cette manière. Néanmoins je me savais incapable de lui faire du mal, lui m’en avait fait en me disant cela, je me disais juste que c’était normal qu’il était simplement jaloux. Cela ne le dérangeait en aucun cas de m’interdire d’aller voir ailleurs alors que moi je devais le laissez faire, non mais il pouvait être aussi misogyne que certains sorciers. Depuis ce jour, nous avions décidé d’un commun accord que nous ne mettrions aucune règles vis-à-vis de nos relations officielles, puisque la notre mis à part notre amitié hors du commun, était une relation officieuse.