Bonjour, bonsoir, ce qui vous plait, en réalité. Mon nom est Anastasie Mongwau, sorcière en devenir, puisque toujours aux étude, dans le magnifique établissement qu'est Poudlard. Je suis présentement en sixième année, ou j'excelle. Je suis née de mère moldue, et d'un père sorcier. Ils ne se sont jamais mariés, ma mère n'ayant pas survécu au choc, quand elle découvrit l'univers magique. De toute façon, l'homme d'importance qu'était mon père n'avait pas de temps à consacrer à des relations amoureuses, il devait se concentrer sur son travail guérisseur, à ste-mangouste, question de gravir quelques échelons. Je suis native de Londres, mais j'ai passé toute ma vie, du moins, jusqu'à mon départ pour Poudlard, dans une petit ville sorcière de campagne. Je passai une enfance assez solitaire, faisant école à la maison – j'ai toujours eut un peu de mal avec les autres, et mon père m'aurait surement envoyer dans une école moldue, pour me familiariser.... Parler à des gens qui ne connaissent même pas quelque chose d'aussi simple que le chemin de traverse m'agace. - et, en guise de compagnie, quelques livres d'histoire de la magie, d'introduction à la métamorphose.... des bases théoriques qui me mettaient tout simplement l'eau à la bouche.

Je reçu ma lettre d'entrée à Poudlard à 11 ans, comme tout autre enfant sorcier rêve de le faire. Je dois dire que j'attendais le hibou depuis des années, devant ma fenêtre. La lettre était tout à fait conforme à mes attentes, ce qui me remplissait le cœur d'espoir : si la lettre était comme je m'y attendais, peut-être que mon avenir suivrait les plans que j'avais imaginé? Je fis ma valise le jour même, avant même d'annoncer la bonne nouvelle à mon père, qui quand il l'apprit, en fut ravi : il avait lui même fait ses études là bas, comme l'avait fait son père ainsi que plusieurs autres générations qui l'avaient précédés; notre famille faisait partie depuis des siècles de la vie sorcière, malgré notre sang mêlé. Mon premier passage entant que future étudiante à Poudlard fut aussi comme je l'avais imaginé... à l'exception faite de ma visite chez Ollivander, puisque je pensais trouver ma baguette du premier coup, ce qui ne fut pas le cas : je du en fait en essayer quatre, mais je fus très satisfaite de celle qui me choisit. Après cela, je fis mon entrée à la gare neuf et trois quarts, débutant mon séjour à Poudlard.

Ma première année débuta comme celle de tous les autres élèves, par la répartition, où, à peine le choixpeau sur la tête, je fus envoyée à Serdaigle, la maison que je convoitais. J'aimais leur idéologie et le fait que je ne me retrouverait pas avec des personnes ne ressentant pas le goût d'apprendre comme je l'avais. Dès cette année là, j'eus de très bons résultats, malgré que certains professeurs me trouvaient trop réservée : J'avais été habituée à apprendre par moi même, rejetant parfois leur aide. Les autres élèves avaient aussi, pour la plus part, la même opinion de moi; je ne faisais jamais les premiers pas pour engager la conversation, et je m'enfermai souvent avec une pile de livre, à la place d'aller discuter avec d'autres gens, durant mes temps libres. Ce fut la même chose d'années en années, ce qui me convenait. L'important pour moi étant d'avoir de bons commentaires face à mes études, pour avoir un bon emploi, par exemple dans le domaine des potions, de loin ma matière favorite. Cela changea quand j'atteins la 5e année; Lorsque l'on m'approcha pour la première fois, pour une autre raison que de l'aide : on m'invitait à un bal. Ce fut pour moi comme une révélation : j'étais donc dotée d'un certain charme? En y pensant plus longuement, je me dis que je devais l'avoir hérité de ma mère, parce que j'étais forcée d'avoir quelque chose d'elle! Je découvris également à cette époque que j'étais certainement quelqu'un de solitaire, mais que je pouvais jouir de mon charme pour obtenir certaines choses, que je n'aurais jamais cru avoir grâce à quelques habilités sociales. Mon père avait donc raison, quand plus jeune, il me disait que l'on ne trouvait pas tout dans les livres. C'est aussi en 5e année que je pris conscience de ce que l'on disait à propos de moi, comme quoi j'étais une ermite, que je n'étais bonne à rien sauf à apprendre... et qu'ils avaient en quelques sorte raison. Je décidai donc d'entreprendre ma sixième année d'une façon nouvelle, faisant certes, une bonne préparation durant l'été, mais en me permettant plus d'activités... et en essayant de créer des liens avec d'autres personnes, d'avoir plus de plaisir, ce que je trouve étrangement... difficile.