Je suis ouverte à tout type de liens et je suis prête à me démener pour trouver des liens chouettes et compliqués, développés. Mais si vous pouviez venir avec une toute petite idée en tête, ne serait-ce qu'un petit rien, ça ferait avancer le Schmilblick blague à part, ça aiderait quand même. Mais si vous n'avez rien, venez quand même, on trouvera bien.
Vous pouvez également m'envoyer un mp (notamment si vous n'êtes pas encore validé et que vous cherchez des liens, je prends. )

En vrac, je cherche aussi :
☞ un fiancé pour Reine, de sang pur. Cette alliance aurait été manigancée par leurs parents
☞ un protecteur ou protectrice
☞ pourquoi pas quelqu'un qu'elle aiderait pour les cours, sachant qu'elle est brillante mais plutôt inabordable.
☞ j'ai vraiment besoin de tout et n'importe quoi. Je ne suis pas non plus fermée aux liens négatifs - où Reine est la petite victime ou même le méchant tyran - mais je raffole des liens ambigus.


☞ LE PETIT CHOSE (rôle masculin, sixième année ou septième)
« fallait pas m' quitter tu vois, il est beau le résultat. Je fais rien que des bêtises, des bêtises, quand t'es pas là »

Ce qui les lie par dessus tout, c'est ouvertement du chantage affectif, comment en sont-ils arrivés là, nul ne le sait et Reine la première est bien incapable de dire ce qui la pousse à obéir, à céder, sans que ses convictions ou sa personnalité ne l'emportent. En vérité, elle refuse même d'admettre cette soumission, elle l'ignore ostensiblement tout en se rendant compte que cette relation pèse de plus en plus lourd pour ses chétives et petites épaules.
Reine est, en fait, l'indispensable, elle est l'élément clef qui calme les nerfs fragiles du jeune homme, qui apaise ses angoisses, qui règle, ou tout au moins éloigne, tous ses problèmes par sa simple présence. Est-ce la douceur de ses gestes, la sérénité de ses paroles ou la délicatesse de ses traits qui consolent, soulagent, adoucissent si facilement les tensions et écartent l'orage ? Allez savoir.
Quoiqu'il en soit, le jeune homme a humblement décidé qu'il avait une main mise sur Reine et souhaite la garder jalousement près de lui et l'avoir ainsi à portée de main chaque fois qu'il le désire, un peu comme sa prisonnière, un peu comme un objet. Serait-il tortionnaire et elle, fou du roi ? Absurde, Reine ne l'accepterait jamais, pourrait-on croire.
Alors pourquoi capitule-t-elle ? Quel pouvoir exerce-t-il sur elle et elle même sur lui, car après tout, depuis quand était-il devenu dépendant de quelque chose, de quelqu'un, de Reine, dans ce cas précis ? Peut-être était-ce, au commencement, une attirance physique ou même platonique. Peut-être a-t-elle été séduite. Peut-être a-t-il été piqué de curiosité pour les secrets de la jolie vipère. Peut-être, tout simplement, était-ce écrit quelque part.
Et, aujourd'hui, lorsqu'elle hésite, chaque fois qu'elle tente de résister à ses caprices ou lorsqu'il la sent s'éloigner sans pouvoir la ramener à lui, il se fait maitre chanteur, ainsi sûr d'exercer une irrésistible pression sur son curieux trésor.

☞ LARMES DE CROCODILE (rôle féminin, sixième année)
« j'ai même pas vu que tu étais diaphane, que tu étais comme une fleur qui fane »

Elles se connaissent depuis des années, depuis toujours, leur semble-t-il et elles s'aiment excessivement, comme l'on aime une sœur qu'on ne voit qu'une semaine sur deux. Depuis le temps, leur amitié a surmonté toutes les tempêtes, les défauts de l'une et de l'autre, et même l'égoïsme grandiose de Reine n'a su défaire sa solide relation. En somme, elles ont toujours été là l'une pour l'autre, à s'aimer, à se protéger, à se consoler et se conseiller, à partager tous leurs mystères, ou presque. Chaque fois que Reine était à l'infirmerie, son amie a veillé sur elle, inlassablement, se disant que la serpentard en ferait de même pour elle car après tout, elles étaient amies à la vie, à la mort. Cependant, dernièrement, Reine semble délaisser chaque jour un peu plus son amie qui justement n'est pas au meilleur de sa forme... Aurait-elle oublié que la jeune fille est la seule personne sur qui elle peut véritablement compter ? Aurait-elle oublié qu'elle s'était jurée de toujours la faire passer avant elle même ? Ou pire, l'aurait-elle simplement oubliée ?

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